KACHA VEKACHA |
Kacha VeKacha
Chozer milailah ba'ulpan Chozer li zemer ahavah yashan Lashir bamik'lachat Choshev alaich kol hazman Ani ohev otach bechol muvan Kachah vekachah, at bilti nish'kachat Gam kshe'at lo kan. Oleh od boker al chayai Ulai avad'ti yoter midai Bim'kom lihyot yachad Aval batu'ach lo ulai Gam at ovedet k'tzat yoter midai Kachah vekachah, rotzeh otach nachah Po bizro'otai. Martiv et hapanim, otzem ta'einaim Noten ledimyoni liz'rom im hamayim Ve'ein mah la'asot, zeh mah sheyesh beintaim Ve'at bechol makom, kachah vekachah Balailah uvayom, kachah vekachah Arba'ah asar yom bli lihyot beyachad. Zeh shir shel yeled me'ohav Im at shoma'at et koli achshav At betach solachat Choshev alaich kol hazman Ani ohev otach bechol muvan Kachah vekachah, at bilti nish'kachat Gam kshe'at lo kan. At bechol makom, kachah vekachah Balailah uvayom, kachah vekachah Arba'ah asar yom bli lihyot beyachad Martiv et hapanim, otzem ta'einaim Noten ledimyoni liz'rom im hamayim Arba'ah asar yamim Hem netzach shenim'shach shvu'aim. |
D’un sens ou de l’autre
Je rentre d’une nuit au studio, Je mets en vers un ancien chant d’amour, Pour chanter sous la douche. Je pense sans cesse à toi, Je t’aime de toute manière, D’un sens ou de l’autre, tu es inoubliable Même lorsque tu n’es pas là. Un autre matin se lève sur ma vie, Peut-être ai-je trop travaillé Au lieu d’être ensemble ? Mais c’est sûr – ce n’est pas une supposition, Toi aussi, tu as un peu trop travaillé. D’un sens ou de l’autre, je te désire tranquille, Là, dans mes bras. Mon visage se mouille, je ferme les yeux, Je laisse mon imagination se répandre avec mes larmes, Il n’y a rien à faire, c’est ainsi en attendant, Tu es en tout lieu, d’une manière ou d’une autre, La nuit comme le jour, d’une manière ou d’une autre, Quatorze jours sans être réunis. C‘est la chanson d’un garçon amoureux, Si tu entends ma voix en ce moment, Tu pardonnes certainement, Je pense sans cesse à toi, Je t’aime de toute manière, D’un sens ou de l’autre, tu es inoubliable Même lorsque tu n’es pas là. Tu es en tout lieu, d’une manière ou d’une autre, La nuit comme le jour, d’une manière ou d’une autre, Quatorze jours sans être réunis. Mon visage se mouille, je ferme les yeux, Je laisse mon imagination se répandre avec mes larmes, Quatorze jours Sont une éternité qui a duré deux semaines. | |
Texte : Shalom Chanoch. |
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